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CONTE -
IDA
Auteur : Guy Regis Junior
Mise en lecture : Jean Fritz Junior ODNÉ dit Junjazz
« Ida mobile de ma rage. Toi seule connaissais mon cœur et mon corps.
J’ai neigé sur place quand elle a pris la décision d’aller chercher ailleurs. Ida seule était mon soleil. Mais moi, vous voyez, je dansais quand Ida était là. Elle riait, je dansais. Elle tchuipait, je dansais. Elle et moi, vous voyez, nous étions comme deux îles entre deux eaux. J’étais prêt à laisser derrière moi mes convictions, me déraciner de mon île, accepter de m’échouer ailleurs comme les autres aller là-bas cueillir un mieux-être, juste pour la flamme que cette fille allumait au rebelle que j’ai toujours été ».
Mise en lecture : Jean Fritz Junior ODNÉ dit Junjazz
« Ida mobile de ma rage. Toi seule connaissais mon cœur et mon corps.
J’ai neigé sur place quand elle a pris la décision d’aller chercher ailleurs. Ida seule était mon soleil. Mais moi, vous voyez, je dansais quand Ida était là. Elle riait, je dansais. Elle tchuipait, je dansais. Elle et moi, vous voyez, nous étions comme deux îles entre deux eaux. J’étais prêt à laisser derrière moi mes convictions, me déraciner de mon île, accepter de m’échouer ailleurs comme les autres aller là-bas cueillir un mieux-être, juste pour la flamme que cette fille allumait au rebelle que j’ai toujours été ».

THÉÂTRE -
La Perma (étape de création)
C'est seulement un apéro dînatoire des plus agréables. Tout se passe super bien. Les invités sont d'ailleurs très gentils, pas du tout désagréables. On se sent bien, tout le monde a totalement envie d'être ici. Il n'y a pas de coups d'éclats, ni de crises de nerf, ni de panique hallucinatoire. Il n'y a pas de moments gênants, ni de harcèlement, ni d'insultes londoniennes, tout le monde se respecte, tout le monde s'aime. Il ne va vraiment rien se passer de spécial, si ce n'est des petits instants de bonheur ou d'amour.

DANSE -
Adikavi
un duo d’Ambre Dupuis Hoyet et Fanny Mansot
Cette création courte explore un besoin viscéral de se connecter, de danser et de créer, à un moment de nos vies où cette nécessité était plus qu’essentielle. Dans cet espace sacré, deux énergies se rencontrent, s’écoutent et se laissent guider. Adikavi, « le premier poète », incarne l’origine du verbe et du monde, et notre danse en devient la résonance. Cette pièce est le reflet d’un cri de soi, un cri du cœur, notre vœu est d'exprimer pleinement cette urgence intérieure. Nous donnons notre entière confiance à l’autre et nous acceptons à des forces extérieures de nous traverser. Nous puisons dans l’inconfort et le confort de l’une et l’autre aussi bien émotionnellement que corporellement afin d’en créer un langage commun. Cette démarche permet de créer un nouveau monde entre deux êtres.
Cette création courte explore un besoin viscéral de se connecter, de danser et de créer, à un moment de nos vies où cette nécessité était plus qu’essentielle. Dans cet espace sacré, deux énergies se rencontrent, s’écoutent et se laissent guider. Adikavi, « le premier poète », incarne l’origine du verbe et du monde, et notre danse en devient la résonance. Cette pièce est le reflet d’un cri de soi, un cri du cœur, notre vœu est d'exprimer pleinement cette urgence intérieure. Nous donnons notre entière confiance à l’autre et nous acceptons à des forces extérieures de nous traverser. Nous puisons dans l’inconfort et le confort de l’une et l’autre aussi bien émotionnellement que corporellement afin d’en créer un langage commun. Cette démarche permet de créer un nouveau monde entre deux êtres.
![]() ATELIERS CONTES SOUFIS Le 18 et 25 septembre de 11h à 12h | ![]() BIENTÔT LES DATES |
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